
Montarlot, un des nombreux petits villages qui sillonnent le cours d'eau Le Salon

Champlitte, au coeur des 3 Provinces et son château

Au détour des routes sinueuses de la Haute-Saône, se cachent de petits joyaux de villages anciens, où châteaux et églises coiffées de toits comtois semblent figés dans le temps. Ces hameaux, perdus dans l'immensité d’un territoire à la faible densité, offrent un retour à une époque révolue, préservée au cœur des vastes paysages.

Vue aérienne des chemins sillonnant la Haute-Saône, où la Via Francigena croise des sentiers oubliés. Un voyage à travers le temps, sur des routes empruntées depuis des siècles, guidant le voyageur à travers les champs et vallées.

En noir et blanc, les chemins interminables se dessinent à travers les champs, témoins silencieux des parcours agricoles et des balades champêtres, dans une Haute-Saône où l’horizon semble sans fin.

La nature reprend ses droits sur les rives du Salon, dissimulant le cours d’eau sous un épais manteau de verdure. Le flux du ruisseau se devine à peine, enveloppé dans la tranquillité des lieux, loin des regards et des routes fréquentées.

Vu d’en haut, le champ inondé se transforme en un paysage où arbres et reflets se confondent, créant l’illusion d’une nature indomptée.

Un territoire de villages regroupant à peine une centaine d'habitants nichés entres forêts et champs

Arbre isolé en terre cultivée....

une agriculture engagée pour la préservation de l'environnement

Dans le brouillard épais, les arbres recouverts de givre dessinent un cœur parfait vu du ciel. Une scène éphémère, où la nature, figée par le froid, révèle sa poésie cachée, à la fois fragile et mystérieuse.

Dans cette vue aérienne, l’inondation devient un tableau naturel, une œuvre d’art éphémère offerte par la nature. Les lignes des arbres et du chemin se fondent dans l’eau, créant des formes abstraites, presque peintes, révélant la beauté inattendue de ce moment unique.

Une courbe parfaite, où la route épouse les contours des champs avec une fluidité naturelle. Vue du ciel, cette forme géographique illustre l’harmonie entre l’homme et le paysage, un tracé aussi précis que dessiné à la main.

Le chemin disparaît lentement sous l’eau, avalé par l’inondation qui efface les traces humaines. Ce passage, autrefois bien visible, se fond dans le paysage aquatique, rappelant la puissance implacable de la nature.